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 Aaron L. Wonder ~ Let the flames begin

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Aaron L. Wonder ~ Let the flames begin _
MessageSujet: Aaron L. Wonder ~ Let the flames begin   Aaron L. Wonder ~ Let the flames begin EmptyMar 23 Nov - 22:55


Aaron Wonder .


Aaron L. Wonder ~ Let the flames begin Zacba
    « SMART HAS THE PLANS. STUPID HAS THE STORIES.» -
NOM COMPLETAaron Luke Wonder. DATE ET LIEU DE NAISSANCE21 Décembre 1991 Dorking. AGE19 ans. ORIGINES ET NATIONALITÉAnglais & Irlandais. ORIENTATION SEXUELLEHétérosexuel. PROFESSIONEtudiant en littérature/sport & jobiste à divers endroit. ETAT CIVILCélibataire. GROUPE✿ love is colder than death. AVATARZac Efron.
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    « STUPID IS TRIAL AND ERROR. MOSTLY ERROR.» -
Je me demande ce qui m'a fait arrivé jusqu'ici. Je me demande même parfois ce qui ce serait passé si j'étais passé par un chemin de traverse. Si ballotté de port en port, j'avais finalement choisit de m'arrêté. De dire non une bonne fois pour toute et ne plus jamais repartir. Cependant, après tout cela. Les coups dur de la vie. Les erreurs, les disputes, les cris et autres douleurs. J'ai fini par atteindre cet endroit. Celui-ci même qui m'ouvre ses bras aujourd'hui. J'ai drôlement vécu. Je n'ai jamais compris ce qui m'a mené ici. Je suis quasiment sur de ne jamais le comprendre. Certains parlent de destin. Ils justifient leur erreurs grâce à celui-ci. Mais ce n'est pas vrai. Nous sommes maître de nos actes et dans ce cas. Pourquoi ne me sens-je pas la force de tout envoyer en l'air ? Sauté d'un pont. Finir cette chaîne infernal que je subis et qui m'étouffe. Au lieu de cela, je me tais. Je ferme les yeux, je respire et prends sur moi. Qui l'eu cru? Qui pourrait le croire lorsqu'on voit quel monstre je suis ? Qui pourrait le croire lorsqu'on se penche sur moi, ma vie, cette image que j'offre ? Personne... il n'y a jamais personne...

Je suis né en hiver. Un hiver dont je ne me suis jamais relevé. Ma mère aimante et fière de son mariage tout récent venait d'atteindre son neuvième moi de grossesse non sans peine. Je ne pointais pourtant pas le bout de mon né. Il fallu attendre encore 9 jours avant que je n'arrive et que je ne vienne semé la pagaille dans la vie de mes parents qui semblait tout à fait ordonnée. En effet, je suis né de Noah Andrew Wonder et Alyssa Chelsea Matthews. Ma famille n'était pas forcément très riche. Je ne suis pas le descendant de machin truc et bidule. Mais je m'en fou. J'en ai jamais rien eu à faire. Un homme né dans la fange, vaut mieux qu'un homme né dans la soi pourri par les années. Cependant, lorsqu'on touche le fond, on ne se décide pas à sortir la tête de l'eau à tout les coups. Je m'appelle Aaron Luke Wonder. Je suis né dans un hiver sans fin qui s'est abattu sur l'Angleterre il y a de cela 19 années, et je crois ne jamais avoir réussit à m'en sortir.
La première chose que l'on me dit à la naissance, c'est que j'avais les yeux de mon père. La seconde était qu'en ce jour si particulier, je ne pouvais qu'être destiné à de grande chose. La troisième que je vous dirais, c'est qu'on ne peut pas avoir raison ou tord sur toute la ligne. Mes parents n'étaient pas riche. Ils étaient loin d'être pauvre tout de même. Enfin, je ne vécu pas avec une cuillère en or dans la bouche, mais pas non plus noyé par la pauvreté. Mon enfance fût plutôt simple. Je n'ai jamais vu mon père. A peine si je connais son nom. Je n'eu le loisir de croisé ma mère que de rare fois lorsque, entre deux gardes à la maison de repos du coin, elle avait le temps de me border. Mes nuits blanches remplies de cauchemars, je les ai passées mon poings dans ma bouche à pleuré en silence. Ça forge le caractère. Ça vous apprend à vous taire lorsqu'il le faut et à affronté la douleur comme un homme. Mon père et un machiste fini qui me répéta tant et tant de fois que les femmes nous étaient inférieure que je failli le croire. J'étais enfant à l'époque, il est normal d'écouté son père. Normale de le regarder avec envie et de ce dire : "Lorsque je serais grand je serais comme lui". J'y ai cru, je le voulais et le pire dans tout cela, c'est que même après tout ce qui c'est produit, je trouve que ces instants de naïveté, d'ingénuité ou la figure paternelle était la seule qui mérite un égard, sont les plus beau de ma vie. Tout était si simple à l'école. J'allais à l'école, je revenais, je trouvais sur la table de la cuisine des tartines préparé avec soin pour moi, ainsi qu'un mot me disant que la nounou allait arrivé d'un moment à l'autre. La vie fût un long fleuve tranquille des années durant. Jusqu'à mes cinq ans environs. Lorsque ma mère se trouva être enceinte à nouveau. J'eu deux réaction. La première : je haïssais ma mère de briser ce cocon familial dans lequel nous vivions depuis ma naissance je lui en voulais de m'obliger un nouveau membre alors que j'étais bien seul. La seconde étant que je me réjouissais de voir arriver un nouveau bout de chou. S'il s'agissait d'un garçon je lui apprendrais à faire du skateboard, à sauté du rocher afin de plongé la tête la première dans l'eau, j'avais aussi prévu de lui apprendre le basket-ball et puis je le protégerais surtout. Enfin, en moi ce battait des sentiments contradictoire, mais c'était normal. J'étais en enfant, je voulais le beurre et l'argent du beurre. Je voulais la tranquillité, mais aussi avoir ma sorte de figurine à façonner à mon effigie. Une sorte de mini moi. C'est ainsi que j'ai passé neuf moi à redouté, espéré, louer, détesté, ce nouveau venu qui allait sans doute me prendre ma place. J'en ai fait bien des cauchemars, espérant ne pas finir à la trappe, ne pas me faire jeté de la maison et pouvoir resté avec ma famille, cependant, c'était plus fort que moi je ne pouvais m'empêcher de craindre l'avenir. Alors, le jours où mon jeune frère, James Andrew Wonder naquit, je ne pu que craindre ce qui allait se passé. J'étais jeune, mais j'ai bien comprit que mon père avait offert son prénom à mon frère et non à moi. Je compris par la suite aussi que mes parents n'avaient plus aucune attention à mon égard, mais que le petit avait droit à toutes les attentions.

C'est dans la jalousie que je grandis. Consumé par ce sentiment plus fort que moi, je ne laissait à James aucune chance de s'en sortir. Je le pinçais, il m'arrivait même de le gifler et de lui dire des choses méchantes pour le voir pleuré. Je n'avais rien du frère aimable et aimant dont on peut rêver. Pourtant il revenait toujours vers moi. Et nous grandîmes. Je faisais partie de l'école du quartier et mes premières années furent aisée, la suite tout autant. Je ne prenais pas de plaisir particulier à travailler pour l'école, mais je savais ce que je voulais. Je ne fus pas un élève turbulent. Toujours dans le fond de la classe je restais silencieux et je passais mes journées à rêvasser. Je fus bien vite mis dans une catégorie très particulière dont je fus le seul de mon école à bénéficié : "Cas a part, potentielle énorme, mais manque de motivation". En gros, j'étais le super intello qui par manque d'envie ne foutait rien. C'est dur de grandir avec cette étiquette collé sur le front. Encore plus dur de voir le temps passé alors qu'on se rend compte de ses erreurs. Qu'on sent le temps vous filé entre les doigts alors qu'on est même pas en âge de comprendre ce que signifie l'amour. J'étais précoce, tant et si bien que ma mère cessa de prendre une nounou et me chargea à 11 ans de m'occuper de mon petit frère. C'est à cet époque que tout changea entre nous. Du grand frère méchant je suis devenu le grand frère poule. Celui qui sort avec le petit et lui apprend comment mettre de l'effet dans sa balle de baseball, comment faire un lay back au basket et surtout comment répondre aux jolies demoiselle lorsqu'il vous faut les courtiser. Le lien qui nous unira par la suite sera très fort. Une vrai dépendance, James avait besoin de moi et j'avais besoin de James. Néanmoins en grandissant il me fut plus dur de le supporter, surtout qu'il désirait tout faire avec moi. J'entamais l'adolescence alors qu'il entamait tout juste sa vie.
Avec l'âge je devins populaire. Plutôt mignon, les filles me remarquaient souvent. Je leur rendais leur sourire et elles venaient m'aborder pour savoir si j'avais une petite amie. C'est ainsi que je devins vite un bourreau des coeurs. N'ayant jamais éprouver l'amour, je misais sur l'amusement. J'eu de nombreuse relation et mon frère jalousais la proximité que j'avais avec mes amis et ces filles de passage. Pour lui il s'agissait d'un vol. On lui volait sa place auprès de moi et lorsque je me faufilais hors de la maison alors que nos parents dormaient, cela signifiait que je le trahissais. C'était dur, très dur même, mais je devais bien avancer. En grandissant il allait bien finir par comprendre que c'était normal. J'avais quinze ans, les années avaient défilé plus vite qu'une fraction de seconde et je me voyais sur le point de passer un cap de ma vie. J'allais faire des choix qui influeraient sur mon futur et j'étais prêt à prendre le monde entre mes mains. Ce sont ces précieux instants de puissance qui nous font prendre la grosse tête. Qui nous donnent l'impression d'être invincible et qui nous rendent la chute encore plus dur. Car, si l'on a jamais connu les hauteurs, retrouvé les bas fonds ne vous effraie pas le moins du monde. Cependant, j'ai frôler des sommets inespéré durant ces années. J'étais doué en tout, j'avais une bande d'amis qui me suivaient et à vrai dire j'étais un leader né. Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes, mais c'était sans compté sur un accident. En effet, je m'étais rendu à une soirée et je dus rentré en pleine nuit. Ramener par l'ami d'un ami, je descendis de la voiture au coin de la rue comme à mon habitude afin de ne pas me faire repéré. J'attendais à voir mon frère débarqué à tout instant alors que je marchais en silence vers ma maison. La lune éclairait de sa pale clarté une rue froide et sans vie. Pourtant, il y avait de la lumière, même beaucoup de lumière à vrai dire. Levant les yeux droit devant moi, je vis les flammes lécher le toit de ma maison. Celle-ci en flamme pour une raison qui m'était inconnue. A vrai dire, dans ce genre d'instant on est pas héroïque. On ne fonce pas tête baissé dans le flamme en étant persuadé qu'on va survivre. Mon courage avait prit la poudre d'escampette. J'étais terrorisé à vrai dire, transi par le froid qui prenait mes membres malgré ce début d'été. J'ai pourtant foncé. Tête baissé, les yeux posé inlassablement sur mes baskets acheté dans un magasin de contre façon. La porte ouverte, je me suis rendu compte des dégâts. Dans mon dos des gens hurlaient à perdre poumons que je ne devais pas entré. La sirène des pompiers se rapprochait, pourtant je m'engouffrais tel un fou à travers la porte pour me retrouver entouré par les flammes. Le feu. Il consumait tout. Tout ce que j'avais été, toutes ces choses que j'étais. Les flammes détruisaient ma maison et je me retrouvais au milieu, tel un fou qui n'avait su resté à sa place. C'est alors qu'au milieu de la pièce exigu qui nous servait de salon, je vis mon frère dans la cuisine.. Debout face au réchaud. Il regardait l'objet comme hypnotiser par celui-ci. Le voyant je me suis jeté vers lui sans faire attention à la poutre qui s'effondrait dans mon dos. Le chemin barré de ce côté là, je pris le parti de passé par l'arrière. Ma sortie de secours en quelques sortes. Arrivé dans la petites salles de bains j'ouvrais la fenêtre m'apprêtant à sauté du premier étage, à vrai dire j'avais l'habitude de descendre par la gouttière, mais mon frère avec moi, la descende se trouvait être impossible. Je ne sais pas comment j'ai fait. Je ne sais pas quel énergie m'a poussé à le faire ni comment j'y suis y arrivé. J'ai réussi à sortir. A passer par la fenêtre qui se faisait de plus en plus petite pour moi plus je grandissais. J'ai réussit à passé mon front de dix ans sous le bras; J'ai réussit à le sauver au détriments de mon père rongé par les flammes. Ça doit être une mort terrible. Ressentir cet élément si fort et puissant consumer votre corps. Perdre peu à peu dans la douleur tout ce qui vous défini. Votre image, votre enveloppe charnelle, avant de mourir d'en d'atroce douleur.

Par la suite j'appris que James avait voulu se faire du chocolat chaud, mais vu que je n'étais pas là il avait décidé de se le faire lui même. Il pleura toute la nuit. Il pleura longuement notre père disparu et mes blessures. Une brûlure qui avait laissé une longue marque rougeâtre dans mon dos ainsi que ma jambe cassé. Je crois que James s'en est toujours voulu, qu'il s'en veut encore aujourd'hui. Je m'en veux aussi. De ne pas avoir été là. De ne pas lui avoir apprit comment se servir du réchaud et toutes ces autres choses que je n'avais jamais faite. C'est ainsi, dans la peine, les regrets que nous sommes passé d'un petit appartement à un dépotoir minable. Ma mère se mit à boire pour oublier et la caravane dans laquelle nous nous mirent à vivre était à peine assez grande pour héberger une personne. Je dus reprendre les rennes de notre famille. M'occuper de mon frère afin qu'il se rende à l'école, face ce qu'il fallait pour avoir ses points et qu'il ne sorte pas du droit chemin. Par la même occasion je devins une tout autre personne. Du gars souriant, populaire et très intelligent. Je devins un garçon refermé sur lui même, distant et froid. J'étais une sorte de héro dans mon entourage. Le garçon qui s'était jeté dans les flammes avait sauvé son frère et avait survécu. Cependant, les autres ne comprennent pas ce genre de chose. Ils attendent un an, voir un an et demi avant d'abandonner. De dire que vous en faite des tonnes et de vous abandonné. C'est ainsi que je me suis retrouvé de plus en plus seul. C'est ainsi que je me suis retrouvé à me drogué, à boire plus que de raison et à me foutre en l'air. Entre aujourd'hui et l'accident j'ai du voir les deux psychologues scolaire, le premier abandonna, la seconde m'obligea à suivre des cours de chant et de guitare afin d'extériorisé ce que je pense. Depuis je chante et joue, mais ça ne va pas mieux. Je vais mal, je le sais. J'ai beau avoir quitté la maison, vivre de mes propres moyens, je sais que rien ne va. Je sais que j'ai abandonné ma famille et qu'à chaque fois que mes yeux rencontre ceux de ma mère j'ai honte de moi. Je sais tout ça, mais j'arrive pas à faire autrement. J'arrive pas à sortir de cette spirale. J'ai besoin d'aide. J'hurle tacitement mais personne ne m'entend. Personne ne me répond.
Quelqu'un... Est-ce qu'il y a quelqu'un pour écouté ?
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    « SMART MAY HAVE THE BRAINS BUT STUPID HAS THE BALLS. » -
Aaron L. Wonder ~ Let the flames begin 2gvrhhl Aaron L. Wonder ~ Let the flames begin 24448m1
PSEUDO/PRÉNOMAmandine. AGE16 ans. COMMENT T'ES ARRIVE ICI, MON POTE ?Par chance ? Partenariat. ET TU KIFFES LE TRIP ?Ouais à donf UNE KAS-DÉDI, PEUT-ÊTRE ?Non, aucune. AUTRE CHOSE MON CHOU ?you know i'm no good.


crédits; bannières by Livia et icons by Sterling.

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Aaron L. Wonder ~ Let the flames begin _
MessageSujet: Re: Aaron L. Wonder ~ Let the flames begin   Aaron L. Wonder ~ Let the flames begin EmptyMer 24 Nov - 15:38

J'ai fini ^^
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Gunner Cartwright
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Gunner Cartwright

✿ MESSAGES : 103

Aaron L. Wonder ~ Let the flames begin _
MessageSujet: Re: Aaron L. Wonder ~ Let the flames begin   Aaron L. Wonder ~ Let the flames begin EmptyMer 24 Nov - 16:13

WELCOME. Aaron L. Wonder ~ Let the flames begin 323290
Par contre, quelqu'un d'autre convoite Zac également, donc ce sera à la meilleure fiche à moins que vous vous arrangiez. (:
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